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Thursday, April 28, 2011

Les bonnes ondes de la semaine

REVUE DE PRESSE - Vivre heureux, sauver les perroquets, devenir jeune fille au pair à 60 ans et mourir bio, tout un programme...

Une des infos étonnantes de la semaine a été le salon de la mort. C’est bien la première fois que celle-ci s’expose au même titre que le mariage, le cadeau publicitaire ou l’agriculture ! L’idée des organisateurs est de faire tomber les tabous nous explique le Parisien Aujourd’hui en France. Pouvoir échanger sur un sujet aussi capital qui, hélas, nous concerne tous. Afin que l’on puisse envisager la fin de sa vie dans le calme et par exemple choisir son cercueil...bio. On connaissait les cercueils en bois certifié, celui de la société ABCrémation est carrément en amidon de maïs et de pomme de terre avec un intérieur tapissé de lin 100 % bio ! Même Chopin n’aurait pas imaginé mieux pour sa Marche Funèbre...
Mais avant le macabre moment du cercueil, la vie heureusement nous réserve des joies jusqu’au bout et l’on peut jouer les jeunes filles quand on est une mamie en devenant...fille au pair! Le Parisien Aujourd’hui en France, encore lui, nous explique qu’une agence allemande a lancé ce nouveau concept. L’idée est formidable pour l’entraide inter-générationnelle : des mamies partent d’un bout à l’autre de la planète pour garder les enfants. Elles sont ravies de ce job qui leur fait voir du pays et les jeunes parents sont rassurés par leur sagesse et leur expérience et applaudissent les super mamies!
Le secret des mamies? Leur gentillesse! Une des clés du bonheur comme le rappelle un nouveau mouvement qui vient de se créer en Grande Bretagne. Action pour le Bonheur, c’est son nom a été fondé par l’alliance improbable d’un éminent économiste, d’un ancien chef de police et du biographe de Tony Blair qui veulent aider leurs compatriotes à être plus heureux puisque l’on sait aujourd’hui que cela n’a rien à voir avec l’enrichissement, grâce notamment à mille petits gestes individuels de gentillesse qui changent la vie précise the Associated Press.
Et parmi ces gestes, l’un des plus importants est celui de la solidarité qui est l’histoire du film Rio qui est sorti cette semaine : un perroquet ne sachant pas voler qui va être aidé par des amis pour prendre son envol. Film soutenu par la LPO dont le site, lpo.fr, souligne qu’il s’agit d’un magnifique oiseau, hélas en voie de disparition à cause du braconnage, l’Ara de Spix. Un film drôle et joyeux pour parler du trafic des espèces protégées, sujet qui malheureusement n’a pas du plomb dans l’aile!



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Thursday, April 21, 2011

Théâtre de l'Odéon- Luc Bondy se dit "fier"

"Je suis très fier, je me réjouis, mais il y a encore des discussions à mener (...). Je n'ai rien contre qui que ce soit mais je ne ferai pas de déclarations. Il y a encore des choses à discuter avec le ministère. Il faut savoir qu'est-ce qu'il en est du budget, de mes fonctions", a déclaré M. Bondy, interrogé au téléphone par l'AFP.
"Mais je veux réfléchir sur les délais. C'est très important pour moi, car c'est très rapide", a poursuivi Luc Bondy, actuel directeur du Festival de Vienne.
"Et naturellement un passage d'une direction à l'autre doit se passer de manière harmonieuse, en des termes qui ne sont pas des histoires de vexation et de polémique. Ca devient pratiquement une cabale cette histoire et je ne le veux pas du tout. Je n'ai rien à dire contre Py ni contre quiconque", a-t-il ajouté.
"C'est vrai que j'ai souvent demandé un théatre à Paris, que je suis bilingue et que je pourrai travailler partout. Il est donc tout à fait naturel qu'on me donne un théatre parisien.".
Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, a annoncé vendredi qu'il proposerait au président Nicolas Sarkozy de nommer Luc Bondy à la direction du théatre de l?Odéon, au terme du mandat d?Olivier Py en mars 2012.

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Thursday, April 14, 2011

Pyracrimes, Da North Gang - lexique des Pyramides

Comme dans la plupart des quartiers, la cité des Pyramides à évry regorge de surnoms. Des surnoms pas très glorieux, certes, mais qu’importe. Il y a ceux qui désignent la cité dans sa globalité et ceux qui servent à nommer des endroits particuliers. Pour remplacer les Pyramides, le petit nom le plus commun est ? les Pyras ?, un diminutif. S’ensuit toute une déclinaison : ? Pyracrimes ?, qui je crois tire son nom d’une musique de rap, d’un rappeur amateur du même quartier. De même pour ? Pyragansta ? qui constituait la quasi-totalité d’un refrain que les ? Pyramidiens ? aimaient diffuser à fond, au début de cette année.
A part ?a, on localise certains endroits par des lettres, par exemple DNG, qui signifie ? Da North Gang ?. J’ai cherché à conna?tre la raison de cette appellation, mais aucun des habitants de DNG ne la conna?t. Même après explication du sigle, ?a reste le flou. C’est peut-être parce que le DNG est à l’extrémité de la cité, d’où ? North ? (Nord en anglais). No sé ! Je donne ma langue au chat. Il y a ensuite DRG, qui veut dire ? dragon ?, un surnom plus rationnel puisque les rues au DRG s’appellent ? rues du dragon ?.
J-V pour Jules Vallès, aucun rapport entre le célèbre personnage et les Pyramides, mais c’est le nom de la place, où se trouvent commerces et arrêts de bus, lieux de rendez-vous aussi, toujours blindé par ceux qui, euh…, comment diras-je, lui tiennent compagnie. Les ? Miroirs ?, c’est encore une autre partie du quartier, qui surplombe un arrêt du bus du même nom. Il y a là une place, avec des bureaux et des associations, mais on ne dirait pas, car leurs locaux ont des sortes de vitres-miroirs.
Loin d’être à l’image des précieux vestiges égyptiens, la cité a quand même son charme, si on considère qu’avoir une grande terrasse en cité, et beaucoup de verdure c’est déjà bien. Quant à son architecture, elle ressemble (en faisant un petit effort d’imagination) à de belles pyramides quand même.
Pseudo S.S.A.

réplique de montre

Thursday, April 7, 2011

La peinture aussi !

Maghreb des livres, dites-vous, et pourtant, une exposition de peintres algériens est à voir. Parmi les artistes exposés par la galerie Dar el kenz (Notre part de rêve), les peintres H’sissen, qui signe le Hammam et Hannaoui Nabila. Un homme agé d’une soixantaine d’années me dit, en voyant les tableaux : ? Je suis ouvert à tout type d’art, c’est un vrai plaisir de voir cette exposition, je pourrais même acquérir une peinture si elle me pla?t. ? Prix à payer, au minimum 350 euros, 2000 euros pour les plus chers
Zahia Guelimi, femme galeriste algérienne, petit bout de femme plein d’énergie, peaufine l’installation de son stand : ? L’Algérie étant à l’honneur cette année, j’ai été invitée. J’ai deux galeries à Alger, j’ai essayé en très peu de temps de réunir un collectif de 16 peintres. ? Des tableaux modernes dans leur aspect, d’autres de facture plus classique : la créativité et le patrimoine algérien au même endroit et en même temps. ? J’ai essayé de lancer beaucoup de jeunes peintres, explique Zahia Guelimi. Aujourd’hui, je travaille avec 50 peintres de toute l’Algérie. ?

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Friday, April 1, 2011

Bertrand Delanoë défend l’arabe et l’alsacien

C’est un homme pressé qui rend visite ce matin au Maghreb des livres. Bertrand Delano? précise qu’il a fait un détour par attachement au salon littéraire. Le maire de Paris se fraye un chemin jusqu’au rayon des bandes dessinées, accompagné de Georges Morin, le président de la manifestation. Ce dernier précise que certaines sont même éditées en tamazight.
Il se saisit d’un exemplaire de ? L’affaire du voile ? de Pétillon traduit en arabe et le présente à l’élu, né à Tunis, en Tunisie. ? Je connais Pétillon mais pas celui-là ?, s’étonne-t-il. Entre deux poignées de main, Bertrand Delano? fait part de son envie d’accueillir de nouveau la manifestation entre ses murs. ? Il faut que ?a revienne à l’H?tel de Ville, quand les travaux de sécurité seront achevés. ?
Jacques Toubon, ancien ministre de la culture et président de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration, s’est greffé au cortège. Georges Morin semble ravi des attentions qui lui sont portées et s’adresse au maire : ? Tu nous courtises, Jacques Toubon, nous courtise… ? Bertrand Delano?, taquin, plaisante : ? Jacques Toubon va te donner une subvention. ? 
Georges Morin propose à Bertrand Delano? d’aller à la rencontre de l’historien Benjamin Stora, qui au même moment participait à une conférence. Le maire de Paris refuse avec vigueur de l’interrompre malgré l’insistance de Georges Morin, mais tient à ce que Benjamin Stora soit ? salué chaleureusement ? de sa part.
Au stand dédié aux Bibliothèques municipales de Paris, Bertrand Delano? balaie du regard les prospectus étalés sur la table. Il s’arrête sur ? Lire et apprendre les langues étrangères ? et le décrète ? très intéressant ?. La bibliothécaire qui tient le stand précise que la bibliothèque de Couronnes, dans le 20e, possède un fonds d’ouvrages en arabe de 1800 titres. ? 1800 ouvrages, il faut les mettre en valeur ?, lui suggère-t-il.
Elle profite de cette suggestion et sort de son devoir de réserve pour l’interpeller sur un problème de logiciel : ? Avec notre base de données, on arrive à récupérer les notices de la Bibliothèque nationale, mais sans l’écriture arabe. – Ha bon, mais ?a doit être du ressort de la bibliothèque, non ? ?, répond le maire Paris. ? En plus, insiste la bibliothécaire, sur le site de la bibliothèque on peut emprunter des livres en arabe et en chinois et pas en alsacien ! – Heu, pourquoi pas en alsacien ? Excusez moi, mais j’ai rien compris ?, rétorque, un peu largué, le maire.
L’employée ne se décourage pas. Elle revient à la charge : ? Eh bien voyez-vous, sur le menu déroulant des langues étrangers, vous avez l’alsacien, le polonais, mais vous n’avez pas l’arabe et le chinois. – Déjà, l’alsacien n’est pas une langue étrangère ?, rebondit Bertrand Delano? qui a trouvé de la répartie. Vexée, l’employée ne se démonte pas : ? C’est une langue germanique, quand même. ? Après une dernière tentative d’explication un peu confuse, le maire s’adresse à ses adjoints: ? Relayez, ce n’est pas compliqué. ? Le maire fait part d’un dernier souhait. Il aimerait qu’on parle aussi de l’exposition ? sur l’apport des immigrations ? qui s’ouvre demain sur le parvis de l’H?tel-de-Ville.
Toujours dans l’urgence mais détendu, il accepte de parler de ses auteurs maghrébins préférés : ? En ce moment, c’est Mohammed Cherfi, son dernier livre publié (« Mon combat pour les lumières »). C’est le livre de sa vie, que son épouse a trouvé après son décès. C’est un grand humaniste, un homme cultivé mais un homme d’engagement, qui est du c?té de la liberté et des droits de l’homme. Il n’a jamais d’illusions panarabiques ? Il nous cite aussi un autre auteur, mort lui aussi : ? Une russe, Anastasia Manstein Chirinsky, qui a écrit « Bizerte : dernière escale », elle y montre que le Maghreb est une terre de mélange. On parle de l’émigration à Paris. On a été enrichi par des origines extrêmement nombreuses. Mais le Maghreb lui aussi, a été enrichi par des origines. ? Fa?on polie de dire souligner l’apport positif de la colonisation ?
Avant de partir, il disserte sur Tunis et réaffirme son appartenance à la ville de Bizerte. ? Tunis, c’est pour l’état-civil et l’accouchement de ma mère, Tunis, la ville des corsaires. On a eu tout le monde. ?a veut dire que c’était pas mal. Une terre ouverte aux autres, est nécessairement plus riche. ?

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